Trente ans après la catastrophe de Tchernobyl, cinq ans après celle de Fukushima, Olivier Julien a enquêté auprès des habitants de trois zones contaminées, en Biélorussie, auprès des Samis de Norvège et au Japon. La science montre ses limites face aux incertitudes majeures liées aux «zones grises», ces endroits contaminés, mais où les habitants ont pu rester. Une cohabitation incertaine avec la radioactivité.