Le kebab viennois
Dans un quartier de Vienne où les restaurants de kebabs ouvrent les uns après les autres, un commerçant s'insurge.
A Vienne, Johann Stanzerl est le propriétaire du dernier café autrichien traditionnel de son quartier, le Prince Eugène. Une appelation donnée en hommage à la victoire des Autrichiens sur les Ottomans, au XVIIe siècle. Ironie du sort, Johann Stanzerl apprend, un jour, que l'immeuble entier vient d'être vendu illégalement à une famille turque. Celle-ci projette d'y ouvrir un kebab.